X’ZÉKO

Solo X’zéko Move And Art

Présentation

Qui suis-je ?

Né d’un père artiste mosaïste et d’une mère traductrice, j’ai reçu le chromosome artistique dès ma conception. J’ai été un garçon agité pendant toute ma période scolaire ce qui ne m’a pas empêché d’obtenir mon C.A.P. et mon B.A.C. professionnel en ébénisterie.

Ma rencontre avec la danse et mon parcours

Mon premier contact avec la danse est à l’âge de dix ans par le biais de deux films qui pour moi sont cultes West Side Story et The Blues Brothers. Attiré par tous ces mouvements, je découvre de nouvelles sensations avec mon corps. Jusqu’à mes quinze ans je passe par toutes les étapes possibles, je copie les pas de mes parents (Rock’n roll et danse classique) lors des fêtes familiales et des soirées et m’intéresse à la magie du moon walk du grand Michael Jackson en restant des heures devant ses clips. Mon père m’inscrit à un cours de danse hip-hop dans un centre de quartier de Bagnolet. Le professeur, Karl Libanus, nous apprend les bases des danses de cette culture (Pop, Lock, Freestyle et House) et les bases de la samba et de la salsa.

Après l’obtention de mon bac, je rentre dans la formation hip-hop de Thony Maskott, pour approfondir mes connaissances et ouvrir mon esprit au Jazz Rock, Break Dance, danse classique, contemporaine et danse africaine. Par le biais de cette expérience j’ai fais partie du groupe « Playskool » créé par Karl Libanus avec qui j’ai participé à de nombreux spectacles et concours chorégraphiques.

En individuel ou en duo je participe au battle underground lors de rencontres intercités puis au battle officiel dans les catégories Pop, House et Hip-hop Freestyle.

Aujourd’hui, je suis un des membres fondateurs du collectif Move and Art, je donne également des cours dans une académie de danse et mon envie d’apprendre est toujours présente.

Mon avenir dans la danse

Parmi mes objectifs je voudrais participer au Juste Debout l’équivalent du championnat du monde de danse debout qui a lieu tout les ans à Paris et pouvoir me représenter avec ma compagnie pour rendre la danse Hip-hop accessible à tout le monde.

Mon surnom, pourquoi X’Zéko ?

À mes débuts lors d’un battle intercité à l’applaudimètre le public n’arrivait pas à départager les danseurs, le speaker a balancé le mot ex-æquo depuis j’ai repris cette anecdote pour en faire mon surnom. Cet esprit me convient totalement car j’estime que dans « l’art il n’existe pas de meilleur ».